Avant de vous présenter à l’examen, vous avez passé au minimum une vingtaine d’heures à conduire aux côtés de votre moniteur. Alors plutôt que de vous angoisser, essayez de considérer cette heure de conduite non comme un examen, mais comme une évaluation ordinaire.
Ne vous en faites pas une montagne, regardez plutôt autour de vous tous ceux qui l’ont passé avec succès et dites-vous que cela ne doit pas être l’Everest à gravir. Dans quelque temps, quand conduire sera presque devenu un automatisme, vous rirez bien de toute l’angoisse que cet examen a pu susciter.
Garder le secret
Prenez aussi vos distances face aux sollicitations de votre entourage. Famille et amis, en voulant bien faire, peuvent vous mettre la pression. Vous pouvez gentiment leur demander de ne pas trop vous parler de votre permis. Et pourquoi pas tout simplement garder le secret ?
« Le mieux est de ne pas dire aux autres qu’on passe le permis, conseille Annie, monitrice d’auto-école. Quand vous avez votre date, ne le faites pas savoir autour de vous : comme ça, on ne va pas vous mettre la pression ». Si tout se passe bien vous serez d’autant plus heureux de leur faire la surprise de la bonne nouvelle.
Se répéter que l’on est prêt(e)
Si votre auto-école vous considère apte à passer le permis, il ne doit pas y avoir de problème. Mais comme le jour du baccalauréat, plus on s’est préparé, plus on se sent en confiance. Un candidat qui maitrisera son véhicule, qui n’aura pas fait d’impasse sur les questions intérieures et extérieures de la voiture, qui aura pris suffisamment d’heures pour être à l’aise derrière son volant et aura rencontré un maximum de situations sur la route, se sentira bien évidemment plus serein le jour J. »Conduisez les jours qui précèdent mais jamais le jour-même »
« La conduite, c’est de la pratique, beaucoup de pratique, résume Denis, directeur d’une auto-école pendant plus de 40 ans. Il n’y a pas de piège, pas de secret. Il faut avoir conduit le plus possible dans la semaine qui précède la date de l’examen pour se sentir bien en confiance. En revanche, inutile de conduire le jour même, à la moindre hésitation sur la route, cela peut vous envoyer à l’examen dans de mauvaises dispositions psychologiques. »
Se faire coacher par un pro ?
Si le stress est trop important et que vous craignez de perdre vos moyens, des coachs proposent désormais de venir en aide aux candidats aux permis de conduire. Certains interviennent directement dans les auto-écoles, renseignez-vous pour savoir si ce type de service peut vous être proposé.
D’autres ont imaginé des services en ligne pour venir à bout des angoisses de candidats. C’est le cas de Stéphane Chanson, spécialiste de la gestion du stress, qui a fondé le site Zenoto. Pour 49,20 euros, il vous donne accès à des modules visant à mieux comprendre et canaliser votre stress. Vous pourrez également échanger avec lui et partager vos expériences avec d’autres abonnés. Le tarif étant proche de celui d’une heure de conduite, à vous de voir ce qui vous semble le plus judicieux.
Ne pas confondre maladresse et danger
Le stress aidant, il est fréquent que les candidats conduisent un peu moins bien que lors de leurs leçons habituelles. « Les inspecteurs savent que les élèves sont anxieux, ils en tiennent compte et savent faire la différence entre une maladresse et un comportement à risque », précise Denis, habitué à accompagner ses élèves à l’épreuve pratique.
« Un candidat qui stresse et cale au démarrage, cela n’a rien de dramatique, rassure-t-il. En revanche, celui qui va caler sur un carrefour ou en pleine circulation et perdre ses moyens, c’est tout autre chose! Personne ne rate son permis pour avoir commis une maladresse à cause de l’anxiété… »
Ne pas se laisser impressionner par l’inspecteur
Souvenez-vous bien que l’inspecteur est avant tout un ancien moniteur. Vous pouvez donc vous dire que c’est un simple changement de formateur.
Certains internautes partagent d’ailleurs sur le forum leurs astuces pour partir du bon pied avec cet inspecteur tant redouté: « Il faut lui donner une super l’impression dès qu’on entre dans la voiture avec un bonjour souriant chose que beaucoup oublient à cause du stress, conseilleToto30. Le jour de mon permis, l’inspecteur l’a remarqué en disant que les gens agréables étaient très rares. Même inconsciemment, cela permettra à l’inspecteur d’être un peu plus indulgent. » »Il faut prendre bien son temps pour s’installer
et donner une impression de calme »
Autre bon conseil de Toto30 : « Au niveau de l’installation, il faut prendre bien son temps et donner, même si on est hyper stressé, une apparence de calme et de sérénité. »
Enfin, sachez qu’il est interdit à l’inspecteur de vous tendre des pièges. « Par exemple, il ne peut pas vous demander de prendre un sens interdit comme cela se faisait il y a quelques années, affirme Annie. Il ne demande rien d’inconnu. »
Profiter du bon stress…
Pas question tout de même de jouer trop détendu. Prenez appui sur le « bon stress », celui qui vous permet de garder vos sens en éveil : la vue (il faut penser à bien regarder à droite aux intersections sans oublier les angles morts) et l’audition.
« Il faut surtout bien écouter les consignes de l’inspecteur, rappelle Annie. S’il vous dit « dès que vous le pouvez, vous tournez à droite », cela veut souvent dire qu’il va y avoir un sens interdit. Quand il dit « prenez la deuxième à gauche », c’est qu’il y a une première intersection et cela doit vous alerter et vous faire penser à regarder à droite.
Souvent les élèves se piègent eux-mêmes par manque d’attention ».
…et évacuer le mauvais !
Hors de question de prendre des calmants ou des produits plus forts qui pourraient vous shooter…
« C’est simple, comme avant tout examen, il faut bien dormir dans les jours qui précèdent le permis, bien s’alimenter, faire en sorte d’être au meilleur de sa forme, note Arthur, directeur d’une auto-école et formateur. En général, les élèves arrivent très anxieux, puis une fois le permis en poche et l’habitude de conduire acquise, ils passent dire ‘bonjour’ et nous disent ‘ah en fait, ce n’était rien que ça le permis ! »
Voilà ici le résumé d’une de mes vidéo : Le stress a souvent une connotation négative parce qu’on l’associe à la peur ou au mal-être.
Comprendre ce qu’est le stress nous permet de mieux le vivre. Fonctionnement, pourquoi, réaction.
Mécanisme qui peut être positif si on l’apprivoise : le stress permet de « se dépasser » par exemple une compétition sportive, la finale, le grand huit dans un parc d’attraction, mariage, préparation à un examen…le stress peut être une force dans notre vie. Tomber amoureux procure en même temps du plaisir. On doit apprendre à gérer le stress, ça fait partie de notre quotidien. Imaginons un monde sans peur, et sans stress. Devant un lion : pas peur, pas de stress ?? tu meurs. 3 possibilités : fuir, se battre, rester immobile.
On a besoin du stress face à certaines situations qui doivent mobiliser certaines ressources.
Le stress et ce que vous ressentez lorsque vous pensez que vous ne pouvez pas faire face efficacement à une situation qui vous menace.
L’examen n’est pas une situation menaçante mais un passage obliger vert un diplôme vers la liberté. Peur d’être jugé, de décevoir la famille, les amies, sous- estime ; Sache que tu n’as rien à prouver à personne.
On distingue 2 types de stress : le stress d’origine externe : (examens, compétition, agression, deuil, mariage, maladie, hospitalisation, travaille, raquette,
le stress d’origine interne : nos pensées, on cogite : Ce stress produit les mêmes effets sur le corps.
Le stress produit des sensations souvent désagréables. C’est pour cette raison qu’i faut s’habituer en faisant des examens blancs pour pouvoir s’habituer à vivre le stress, comment il agit sur nous. Le stress et positif : : augmentation de l’attention et de la concentration ; augmentation de la force musculaire; améliorer nos performances physiques et intellectuelles.
Ressentir des effets qu’on considère négatifs : Première chose : Peur, notre système physiologique qui va fonctionner à grande vitesse.
Réaction de notre corps à l’extérieur : On va respirer plus vite, les mains moites et plus froides, maux de tête, on va modifier notre comportements alimentaires – fatigue, anxiété, troubles du sommeil, perte de confiance en soi, irrité, problème relationnel.
A l’intérieur : adrénaline : fortes émotions ou de danger. accélère le rythme cardiaque, augmente la pression artérielle et dilate les bronches. et les pupilles. L’Adrénaline déclenche sans qu’on le veuille toute sorte de réaction. .
Cortisol : Le cortisol est une hormone de stress. Le cortisol est le premier glucocorticoïde de l’homme. Physiologiquement, La cortisolémie est haute le matin au réveil et plus basse en milieu de nuit.
Conseillent : Ne pas confondre avec les hormones du bonheur : Il en existe 4 principales :
la dopamine ; dormez 7 à 9h par nuit, pratiquez une activité physique régulière, faites-vous plaisir, sachez fêter chaque petit succès en vous offrant des récompenses ;
la sérotonine (nature, rayon du soleil, vitamine D ;
l’endorphine. rire, amusez-vous, chantez, dansez, jouez avec vos proches, vos amis, pour alléger votre mental, et pratiquez des étirements, pour détendre votre corps e
l’ocytocine. pratiquez la méditation, prenez un proche dans vos bras, câlinez vos enfants, votre conjoint(e), n’hésitez pas à donner de votre temps.
Conclusion, pour diminuer le stress, activez les 4 hormones du bonheur.
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